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Natacha Kantor
intervention au love :
Daniela Alvarez (danseuse chilienne)
« Forgotten » Durée 32m.
Solo danse, avec : Daniela Alvarez ; chorégraphie, costume et vidéo
: Natacha Kantor ; musique : Kasper T Toeplitz, lumière et direction
technique : Henri Giraud.
C’est une danse en noir et blanc, il n’y a que les cheveux roux
de la femme qui font le contrepoint. C’est une danse qui ne parle que
de l’amour spirituel et charnel, passé et présent. Un voyage
dans le temps extrêmement intime qui nous est livré en direct,
presque de manière exhibitionniste : une forme de « vengeance »
que, dans une sensation de l’extrême humiliation, cette femme pousse
à bout.
« Vengeance posthume ? Non.
En tout cas – pas mienne.
Quelque chose (une grande chose !) se venge pour moi et par moi.
Voulez-vous son nom que je ne connais pas encore ?
L’amour ? Non.
L’amitié ? Non plus, mais tout près : l’âme.
L’âme blessée en moi et en toutes les autres.
Blessée par vous et par tous les autres, éternellement blessée,
éternellement renaissante et finalement invulnérable.
L’invulnérable incurable. »
Marina Tsvetaeva.
La femme rit de son amour, d’elle-même, de sa douleur et de sa fragilité.
En cela, elle devient royale. Elle pratique un rite de l’oubli devant
nous. Et nous les spectateurs, nous assistons à cette déchéance-ascension
et nous nous confondons avec elle. Sommes-nous l’amant dont elle parle
ou alors sommes-nous elle ? Alors, parfois on pourrait ressentir une sensation
de gêne envers ce qui se joue : le spectateur, dans l’acte de regarder
cette danse, pourrait se confondre avec un voyeur, mais il a aussi le choix
de se détacher de cette sensation.
Cette danse n’est que de la chair, elle ne parle que de la chair, la danseuse
est en chair et son âme aussi. La spiritualité se matérialise.
Le désir, la langueur, la sueur, le paroxysme, tout est là pour
nous dire que l’esprit n’est pas où nous croyons qu’il
est, il ne se trouve que dans ces points érogènes.
« La langueur, état subtil du désir éprouvé
dans son manque, une faim sans assouvissement. Un travail du geste sur imprimant
deux désirs celui de l'être absent et celui de l'être présent,
jouer l'absence de l'autre dans la présence de soi. »
Cette femme a ce côté terrien et bestial et fait que la danse ne
part pas dans un pathétisme romantique, elle reste dans une force de
la nature et par conséquent n’est ni triste, ni hystérique.
La musique dans ce solo est là comme révélateur de cette
force intérieure qui, comme un torrent interne, se révèle
: ce n’est pas un dialogue, ni une ambiance mais véritablement
son chant d’énergie intérieur. Ce chant d’énergie
n’est pas une traduction littérale de ses sentiments mais une traduction
physiologique de ses états. La présence du musicien, en revanche,
ne doit pas être perçue comme un partenaire possible à la
danse mais devrait s’apparenter à celle de la vidéo, éventuelle
échappatoire aux tourments de la danseuse, pour celui qui regarde.
La vidéo est là comme une source lumineuse, c’est la seule
lumière qui existe sur le plateau : il s’agit de l’eau en
mouvement, l’eau de mer, les draps se meuvent dans cette eau dans un rythme
opposée à celui de la danse et l’information projetée
est un « garde-fou » de la femme. La vidéo permet de relativiser
la sensation que le spectateur perçoit d’elle : pour les timorés,
c’est une disculpation de l’intimité vers laquelle la danseuse
les emmène.
« C’est elle qui se venge en se retirant de vous qu’elle habitait
et habillait plus totalement que la mer n’habille le rivage – vous
voici nu comme la plage avec les restes de la marée : sabots, planches,
bouchons, bris, rocailles – mes vers, avec qui vous jouez comme l’enfant
que vous étés – c’est elle qui se venge en m’aveuglant
jusqu’à me faire oublier vos traits, en m’élucidant
vos vrais que je n’aurais jamais aimé. » Marina Tsvetaeva.
Solo écrit sur une proposition de Daniela Alvarez de travailler sur deux
chansons sud-américaines : Sombras de Chavela Vargas et Gavilán,
Gavilán de Violeta Parra.
Les deux chansons parlent de l’amour et leurs états d’esprits
sont proches de la chanson traditionnelle russe : un certain plaisir de la douleur,
l’émotion poétisée de la colère, l’acceptation
nostalgique et la force de la nature. Nous n’entendrons pas les voix de
ces deux chanteuses car ce solo, même s’il puise son inspiration
en elles, les traduit à travers l’émotion de Daniela Alvarez
et aussi à travers sa propre voix.
« Quand tu seras parti
M’envelopperons les ombres
Quand tu sauras parti
Avec ma douleur en solitude
J’évoquerai l’idylle
Les heures heureuses
Quand tu seras parti, amour
M’envelopperons les ombres
Dans la pénombre pâle
Dans la petite alcôve
Quand pendant une tiède soirée
Tu me caressais toute entière
Te chercherons mes mains
Te chercheras ma bouche
Et aspirer en l’air
Cet odeur a roses
Quand tu auras parti, amour
M’envelopperons les ombres… »
Ombres de Chavela Vargas.
Pourquoi ?
« Parce qu’elle est une femme qui est tombée et s’est
relevée mille fois. Parce que malgré sa dure vie, elle a réussi
à ne pas perdre l’espoir, ni l’ingénuité, ni
le désir de vivre, ni le plaisir de faire son art, ni la passion intense
avec laquelle elle vie. Elle est un éloge à la vie.
Parce qu’elle est une femme complète, qui a toujours dit ce qu’elle
pensait, elle ne regrettait pas le passé, elle apprenait de lui. Parce
qu’elle n’a jamais nié son homosexualité, elle l’a
défendue devant une société très conservatrice,
machiste, et cassante de la moitié du 20ème siècle. Pour
être restée fidèle à soi-même. » Daniela
Alvarez
Pour parler d’amour, de la passion, de la folie. Pour sa voix incomparable,
tellement expressive, tellement forte et douce. Parce que quand elle interprète
les chansons on le sent jusqu'à l’âme, et on peut ressentir
aussi son âme et son cœur mis dans chaque chanson, dans chaque mot,
chaque syllabe, chaque lettre, chaque silence. Tout devient réel et on
vit et on revit l’histoire en écoutant la chanson, mais c’est
toujours différent. Pour la chair, pour l’amour, pour l’oubli,
pour le rêve qui se produit chaque fois que sa voix grave interprète
une chanson.
« Je ne vais pas être tragique. Tout le monde fait une tragédie
de son passé. Pourquoi ? Si j’ai un passé, pourquoi dois-je
sentir de la honte ? Oui, je l’ai fait ! Je ne peux pas dire : Ay no !
je n’ai jamais goûté un petit jerez. No : j’étais
une ivrogne perdue, perdue. Et j’ai eu des amours, et ils m’ont
aimée, et j’ai aimé après ils m’ont laissée
et voilà. Tout est égal dans la vie. De l’amour, je ne sais
pas pourquoi on en parle autant, si tous les amours sont pareils. Avec des paroles
différentes, à différentes heures, avec différents
états d’esprit, ils te disent « je t’aime » et
le lendemain ils ont mal au foie, et ils te disent «je te déteste
» et ils te jettent au bout de la rue, mais j’ai vécu des
choses très sympathiques aussi. » Chavela Vargas.
« Les excès et le temps ont détérioré sa voix,
mais le sentiment pour chanter les amours déchirés est intact.
[...] le concert a été sa voix cassée, usée, et
profonde, pas toujours affinée, mais toujours généreuse.
Sans que cela sonne comme des excuses : A son âge et avec tellement de
chemin parcouru, et presque toujours à des vitesses pas recommandées,
Chavela aujourd’hui elle ne peut que s’affiner avec le cœur,
et elle sait que le gaucher peut être imprécis, de tellement passionné
qu’il est. […] Pour cela on vit et on chante, pour que les rendez-vous
amoureux se produisent enfin. » René Vargas Vera, La Nation, Buenos
Aires, 1999.
« Ma vie je t’ai aimé
Je t’ai aimé vilain
Ma vie je croyais
Je te croyais Flatteur
Ma vie se pars
Se me pars le cœur
Ma vie de te voir
de te voir trompeur
Ma vie, je t’ai aimé
Je t’ai aimé , je t’ai aimé
Y ay ya yay/Ma vie e t’ai aimé
Vil, vil , vilain
Tu vas voir, tu va voir menteur
Tu vas voir, tu va voir prétentieux
Tu va voir, tu va voir fastidieux
Bijoux de l’âme huifa ay ya yai
Tiqui tiqui ti tiqui tiqui ti menteur
Tiqui tiqui ti tiqui tiqui ti menteur
Mente mente mente menteur
Ma Vie je croyais
Je te croyais flatteur
Ma vie de te voir
De te voir si trompeur
Ma, vie, ma vie,
Je t’ai aimé ma vie……
En quoi est resté ta parole
Ingrat mal bienvenue
Pourquoi aurais je mis les yeux
On a resté tellement divisés
Ingrat bijoux aimée
Vient à écouter mon lament
Peut être tu t’auras oublié
Que tu a fait un jurement
Jurement, ment
Jurement si si si si
Tant qui me disais les gens
Epervier, épervier a des griffes
Et moi seule j’ai continué mont en haut
Epervier m’a enlevé les viscères
Dans le mont j’ai resté abandonnée
Confusion de 7 éléments
Ay de moi , ay, de moi , ay de moi. »
Gavilàn, gavilàn de Violeta Parra.
Oeuvres multiples, Violeta Parra, artiste et créatrice, est une figure
emblématique de la culture populaire chilienne. Sa vie passionnante et
son oeuvre sont profondément ancrées dans l’histoire du
Chili et de l’Amérique Latine. À la fois peintre, tisserand,
chanteuse, compositeur, son talent visionnaire est le reflet des aspirations,
luttes, joies et souffrances de son peuple. Le 5 avril 1967, elle se suicide
dans son chapiteau, à l’âge de cinquante ans.
Réalisations précédentes:
Animation quick time: clici
A propos de Parts of body / Offrir et Recevoir
de Natacha Kantor
Disposition :
Untitled 1 /A slap I wanted 1 /A slap I wanted 2 /A slap I wanted 3 /A slap
I wanted 4/ A slap I wanted 5
Untitled 2Série photographique comportant : 7 tirages argentiques d’après
les négatives 5x6 de 50 cm sur 60 cm. Contre collage aluminium de 2 mm.
Prises de vue et tirages ont été effectuées au Fresnoy,
studio national d’art contemporain. Parts of body / Offrir et Recevoir
a participé à l’exposition « Love for sale »
Bankside Gallery Londres, Angleterre de 20 janvier au 20 février 2005.
A propos de Zeurope, 20 ans après de Natacha
Kantor
Triptyque photographique : tirage argentique d’après les négatives
20x25 de 90 cm sur 1m 53 cm x 2 pièces et de 1m 18 cm sur 1m 53 cm x
1 pièce. Contre collage aluminium de 2 mm. Prises de vue et tirages ont
été effectuées au Fresnoy, studio national d’art
contemporain.
C’est l’histoire de Zeus et d’Europe qui s’aimaient
à l’époque où la photographie n’existait pas
encore, qui plus tard, beaucoup plus tard, après qu’elle fût
inventée, décidèrent de mémoriser leur aventure.
Malheureusement le temps avait fait son ouvrage…2003 Zeurope, 20 ans après,
le 18 janvier exposition du triptyque photographique au Vivat, Scène
Nationale conventionnée, Armentières et en 2004 le 18 avril aux
Studios Albatros, Montreuil. 2005 Edition dans le trimestriel « Sculpture
de Bretagne » Numéro spécial 43. 2005-2006 Centre Européen
d’Art Fantastique/La Clairière aux Centaures à Eben-Emael
Belgique.
CV:
Natacha KANTOR
née le16 février 1971 à Kronchtadt (Russie) nationalité
française
membre de la SACD et de L’APMS
Mise en scène
2005 Le Nuage en pantalon de Maïakovski en répétitions
2004 Lignes de vie(s), spectacle multimédia pour une actrice de 1h30
d’André Serre-Milan ; 1 représentation le 11 janvier à
l’INA/Radio France, Paris (subventions et co-réalisations : DICREAM/GRM/INA/LE
FRESNOY/RADIO FRANCE) ó Zeurope, nos amis les animaux : Etape 3, installation/préfiguration
du spectacle et live-performance sur Internet le 18 avril aux Studios Albatros,
Montreuil. (subventions et co-réalisations : DICREAM/ LE FRESNOY/LA FILATURE/ART
ZOYD/CRRAV) ó Zeurope, nos amis les animaux : Etape 2, préfiguration
du spectacle à La Filature, Mulhouse ó Les Simultanées,
performance pour une actrice à l’exposition Prolongation de Pierre
Petit le 21mai, Stimultania, Strasbourg. ó Exhibit 1\Narcisse résidence
préparatoire, octobre et novembre à Conca, Italie.
2003 Zeurope, Nos amis les animaux : Le Prototype, installation et live- performance
sur Internet) du 21 avril au 7 mai au Fresnoy, Studio National des Arts Contemporains,
Tourcoing (subventions et co-réalisations : LE FRESNOY/LA ROSE DES VENTS/ART
ZOYD/CRRAV) ó LG3bis, pièce déambulatoire de 1h15 ; reprise
le 18 janvier au Vivat, Scène Nationale conventionnée, Armentières
2002 LG3bis, pièce déambulatoire de 1h15 pour 3 comédiens-danseurs
et 1 maître de cérémonie ; 5 représentations en juin
au Fresnoy, Studio National des Arts Contemporains, Tourcoing (co-réalisations
: LE FRESNOY) ó Zeurope 1, installation lors de l’exposition «
C’est pas du cinéma », soirée Saint-Valentin le 14
février au Fresnoy, Tourcoing (co-réalisations : LE FRESNOY).
2001 La Gourmandise 3, pièce de 1h20 pour 6 comédiens-danseurs,
français et kirghizes ; 13 représentations à Montreuil.
2000 La Femme de Chambre, solo de 1h15 pour 1 comédien (Will Bond) ;
création aux Etats-Unis avec le soutien de la SitiCompany; 7 représentations
à Montreuil ó La Gourmandise 2, pièce de 1h pour 4 comédiens-danseurs
; création au Théâtre Municipal de Bichkek, Kirghizistan,
14 représentations ; reprise au festival « Mladi Levi » de
Ljubljana, Slovénie, en août.
1998 L’Orgueil, pièce de 45mn pour 3 comédiennes-danseuses,
1 performeuse, 1 chanteuse et 1 musicien; 10 représentations à
Montreuil; reprise au « Nova Festival » de Bruxelles en Belgique,
en novembre ó La Gourmandise, pièce de 35mn pour 2 comédiens-danseurs;
10 représentations à Paris; reprise au festival « Au Nom
de la Loire » de Tours, en juin.
1997 La Cinquième Lettre, d’après Marina Tsvetaieva ; pièce
de 4h (variation 1) et 30mn (variation 2) pour une danseuse, deux comédiens
et un musicien ; 20 représentations à Paris ; spectacle lauréat
du Défi-Jeunes de la DDJS ó Les Trois Sœurs, d’après
Tchekhov ; pièce de 40mn pour 5 comédiens ; création aux
Etats-Unis avec le soutien de SitiCompany ; 4 représentations.
Assistante à la mise en scène et chorégraphe
2005 Chorégraphie Forgotten d’après Violeta Parra et Chavela
Vargas création le 18 juin à la Festive de la Métive en
Creuse ó Formule(s) danse-vidéo Chorégraphie Presque rien
à La Briqueterie, Amiens résidence du 16 mai au 27 mai, création
le 3 juin à Amiens.
1999 The Trojan Women, d’Eschyle, mise en scène Will Bond (Etats-Unis),
Williamstowm Drama Theatre, Massachusetts, Etats-Unis (chorégraphie)
ó Rêves, d’après des textes de Tchékhov et
Gogol, mise en scène Dimitri Lazorko (Ukraine), avec les élèves
du TNB, Théâtre National de Bretagne, Rennes, France
1995 Beckett’s Head, à partir de textes de Beckett, mise en scène
Willem Kuyvenhoven (Pays-Bas), Académie de Théâtre de Saint-Pétersbourg,
Russie (chorégraphe) ó Small Life, Big Dreams, mise en scène
Evelyne Didi, TNB, Théâtre National de Bretagne, Rennes, France
1994 Vas-t-en chercher le bonheur et ne reviens pas les mains vides, mise en
scène Evelyne Didi, TNS, Théâtre National de Strasbourg,
France ó Nu et habillé, cabaret, mise en scène Catherine
Baï, Paris
1988-1992 Contes du soir pour enfants, et diverses autres émissions pour
la télévision moldave, Moldavie.
Comédienne
1984-1996 Comédienne au théâtre en Russie et en France
1984-1991 Comédienne au cinéma, en Russie, en Moldavie et en France
Autres
2005 Vidéo : Les Liquides, festival Artmedia/Firstrun/Territoires en
after, 30mars-3 avril, cinéma Le Luxi à Ivry-sur-Seine ó
Film d’animation : Zoo Zeurope, résidence/tournage La Métive
en Creuse en juin ó Animation d’ateliers de fabrication de marionnettes
: pour enfants de 6 à 11 ans. Collectif 12, en mars et mai à Mante
la jolie ó Photographies : Exposition collective “Love for sale”
séries photos : « Parts of body » Bankside Gallery Londres
Angleterre. ó Zeurope, 20 ans après, 2003 le 18 janvier exposition
du triptyque photographique au Vivat, Scène Nationale conventionnée,
Armentières et en 2004 le 18 avril aux Studios Albatros, Montreuil. 2005
Edition dans le trimestriel « Sculpture de Bretagne » Numéro
spécial 43 en février. 2005-2006 Exposition collective Centre
européen d’Art Fantastique/La Clairière aux Centaures à
Eben-Emael Belgique.
2004-1999 Organisatrice et interprète français-russe : stages
conventionnés AFDAS (5 semaines, 12 stagiaires, 3 professeurs russes)
autour de la fabrication et la manipulation de marionnettes russes, Cie Banal-Molotov,
Montreuil.
2001 Organisatrice et interprète français-russe : stage conventionné
AFDAS (5 semaines, 29 stagiaires, 3 professeurs russes) sur le théâtre
de marionnettes articulées géantes, en collaboration avec la Cie
Zanka, Lyon.
2000 Chargée de production et interprète français-russe
: spectacle La Toison d’Or, mise en scène Adel Hakim, avec les
élèves du TNB, Théâtre National de Bretagne, Rennes,
France ; en collaboration avec le Théâtre Municipal de Bichkek,
Kirghizistan.
1997 Interprète, traduction simultanée polonais - français
: « Cinéma du réel », Beaubourg, Paris. ó Intervenant
Conférence « Scénographie et Théâtre Contemporain
» Ecole Supérieure d’Expression Plastique de Tourcoing. ó
Interprète et accueil des professionnels : Festival International de
Film de Femmes Créteil.
Formations
2003 Workshop « Langues d’images, théâtre, arts électroniques
et cinéma expérimental », Intervenants : Agnès de
Cayeux, Georges Gangeré, Jasch, Xavier Quérel, Pedro Soler à
La Filature, Mulhouse, France 2001-2003 Résidence au Fresnoy, Studio
National des Arts Contemporains, Tourcoing, France 1997 « View Points
», dirigé par Anne Bogart, autour de la méthode Suzuki,
Saratoga International Theatre Institute, Saratoga Springs, Etats-Unis. 1996
Séminaire « Connaissance et découverte du milieu professionnel
artistique et culturel », Pépinières européennes
pour Jeunes Artistes, Marly le Roi, France ó Stage AFDAS, « Le
Cœur éclaté », dirigé par G.M.Pauen, à
partir de l’Agamemnon d’Eschyle, Paris, France 1995 Stage AFDAS,
« Abélard et Héloïse », dirigé par G.M.Pauen,
Paris, France 1994 Recherche à partir de « Mémoires »,
de Guy Débord, sous la direction de G.M.Pauen, Paris, France ó
Diplôme du Cours de Civilisation française de la Sorbonne, Paris,
France 1991-1993 Cours suivis à l’Association Philotechnique :
philosophie, écriture théâtrale, photographie ; Paris, France
1997-1991 Ecole Supérieure de Théâtre de Nijni Novgorod,
spécialité Art Dramatique, Russie ó Ecole des Beaux-Arts
de Chisinau, Moldavie 1979-1987 Etudes jusqu’au baccalauréat inclus,
Chisinau, Moldavie.
Contact: clici